mardi 26 septembre 2017

TROYES : SA de Teinturerie et Impression de Saint-Julien (aube), 1881, Lambretta et Fenwick

Le faisceau ferroviaire correspond à l'avenue Michel Baroin actuelle.

Une histoire troyenne : Les bâtiments de cette usine désaffectés en 1936, serviront aux allemands en 1940 pour parquer des prisonniers français du Stalag 214 (Hauts-Clos et Pont-Ste-Marie,camp du Moulinet). Puis après la Libération Robert FENWICK acheta l'usine pour y créer successivement une chaudronnerie industrielle, Lambretta fabrique de scooters et enfin FENWICK pour construire des chariots élévateurs.

lundi 25 septembre 2017

mardi 19 septembre 2017

TROYES Bonneterie Louis NICOT, marque ELLEN

1957 : 33, rue des Bas-Trévois
La S.A. des Éts Louis Nicot fait édifier une usine de bonneterie à la fin du 2e quart du 20e siècle, sur l'emplacement d'une ancienne usine de blanchiment ayant appartenu à Joblet, mais dont il semble ne rien subsister. L'activité de bonneterie cesse vers 1965, et les bâtiments sont intégrés dans l'usine voisine appartenant à la S.E.D.I.S., qui fabrique actuellement des chaînes industrielles, des roues et des pignons.
© Inventaire général
En 1947, je trouve l'adresse : 52, rue Jaillant-Deschainets
Aujourd'hui magasins commerciaux : 2 et 9, rue Joseph-Alexandre-Guivet


Voyez aussi sur ce blog : ellen-bonneterie-louis-nicot

lundi 18 septembre 2017

Bonneterie LOISELET - usine Cardinal, puis Giller, puis Savouré Boulevard du 1er RAM Troyes

7, boulevard du 1er RAM Troyes
Manufacture de Confection fondée en 1874
 La cheminée en brique formait un décor. Elle portait la date de 1878
- CPM du Groupe Cartophile Aubois

 
LOISELET, rue de la Trinité et rue de Turenne en 1954

Usine de bonneterie Cardinal, puis André Gillier, puis S.A. Savouré, puis Loiselet, actuellement immeuble de bureaux - 7 boulevard du Premier R.A.M.
Usine édifiée entre 1878 et 1882 par le fabricant de bonneterie Cardinal, puis exploitée par André Gillier avant 1890, puis par la S.A. Savouré, qui possède une autre usine de bonneterie (étudiée) à Sainte-Savine, entre 1925 et 1960 environ. Loiselet en reprend l'exploitation jusque vers 1990, époque de destruction de l'établissement, à l'exception du logement patronal qui abrite aujourd'hui des bureaux.
© Inventaire général
Marque SANGLIER

vendredi 8 septembre 2017